Bon, alors que la saga semblait terminée au tome VI, voilà que l’on retrouve ce bon vieux Fitz et son loup Oeil-de-nuit dans une masure au fond de la forêt à vivre leur petite vie avec insouciance en compagnie d’un jeune garçon adopté du nom de Heur. Insouciance ? Et non, car il s’agit de Fitzchevalerie, le bonhomme qui a toujours tenté de lutter contre les évènements, l’archétype du héros malgré lui, mais surtout un geignard de première. Une nouvelle aventure l’embarque de nouveau sur les routes de Castelcerf (Enfin, il lui faut quand même plus de 200 pages avant de partir…)
Si les précédents tomes faisaient la part belle à cette introspection chère à l’apprenti assassin (qui de fait aura plus été espion qu’assassin), ici ça en devient pesant ; l’empathie que l’on pouvait éprouver pour le personnage se mue lentement en animosité. Bon, tu te décides ou pas ?!
En plus, le tome finit sans finir, on tourne la page, on est surpris "Tiens, mais, où est la suite ?" Eventuellement on pourra suspecter un problème de découpage (tant il est vrai qu’un livre de poche de 800 pages peut être encombrant) M’enfin, quand même, c’est un peu abrupt non ?
"Nous atteignîmes les premiers le bac de Travers-de-Fanal."
Même pas un "Au-devant de quels dangers nous précipitions-nous ?". Beurk.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble