Une brésilienne avance une nouvelle théorie au sujet de la disparition d’Hitler. Selon elle, celui-ci serait mort à l’âge de 95 ans, en 1984, après une fuite de 39 ans en Amérique du Sud.
Une universitaire brésilienne dévoile une nouvelle théorie sur la mort de Hitler agrémentée de preuves qu’elle concilie dans un ouvrage. Hitler ne se serait en rien suicidé d’une balle dans la tête avant de se faire calciner à sa demande. Il ne s’agirait en réalité que d’une mise en scène destinée à couvrir sa fuite pour l’Amérique du Sud, continent qu’il arpentera, de l’Argentine au Brésil en passant par le Paraguay, jusqu’à sa mort en 1984 à l’âge de 95 ans.
A de telles assertions se doivent d’être apportées des preuves tangibles. L’universitaire s’en acquitte en fournissant, à son ouvrage dûment documenté, un cliché qui finit de semer le doute. Cette photographie, prise dans la petite ville de Nossa Senhora do Livramento, au Brésil, montre un vieil homme à la peau blanche accompagné d’une habitante locale.
Banco, selon Dias : l’homme n’est autre qu’Hitler, le bras autour du cou de sa compagne, nommée Cutinga, dont la peau de couleur servirait à masquer tout soupçon de xénophobie ou de racisme – préceptes propres à l’aryanisme – de son compagnon. Le document a finit de convaincre la chercheuse lorsque celle-ci s’est œuvrée à insérer informatiquement une moustache sur le visage du sujet.
De plus, l’homme se prénommerait Adolf Leipzig. Banco bis : Leipzig est la ville de décès de Jean-Sébastien Bach, compositeur favori du dictateur. Enfin : le Führer aurait été aperçu à Cuiaba au début des années 80 lors d’une hospitalisation, par une religieuse polonaise. Malheureusement, celle-ci aurait été sommée de se taire par la mère supérieure, ayant reçu des ordres du Vatican.
Selon la thésarde, le Führer aurait profité de ces vacances prolongées en Amérique pour partir à la recherche d’un trésor dont la carte aurait été fournie par les hautes instances du catholicisme. Tout s’explique. La Brésilienne espère à présent obtenir la pratique d’un test ADN sur la dépouille d’Adolf Leipzig, afin de prouver une fois pour toutes le bienfondé de ses trouvailles.
La disparition du dictateur compte parmi les événements historiques les plus débattus de notre temps. Outre nombre d’illuminés, les Soviets ont eux-mêmes, pendant quelques temps et à des fins politiques, affirmé que l’ennemi juré de leur Petit Père n’était pas mort.
Ceci avant que l’expertise dentaire de l’autopsie ne prouve clairement que les dépouilles retrouvées dans le Führebunker de Berlin, en 1945, appartenaient bel et bien au dictateur et à sa femme. Faute de preuve irrévocable, Hitler est et restera mort dans les bras d’Eva Braun, qu’il venait d’épouser.