Je vous livre la 4ème de couverture :
1954, la guerre d'Indochine touche à sa fin. Dans un hôpital militaire français de Hanoï, Mai, une jeune Annamite qui aide les équipes médicales, croise le regard de Yann, un soldat breton blessé à la poitrine. C'est le coup de foudre. La fougue, la candeur, la jeunesse leur font croire qu'ils pourront vivre librement leur passion. Mais le père de Mai, juge influent, l'a promise à un autre. Elle s'insurge, elle est bannie de la famille...
A peine marié, Yann doit rejoindre les bataillons de la cuvette de Diên Biên Phu. Pluie, bombardements, boue, corps-à-corps : c'est l'apocalypse. Après la défaite, Yann n'est que l'un des milliers de prisonniers condamnés aux marches infernales vers les camps d'internement. Mai est prête à tout pour le tirer de l'abîme.
Mon avis :
Ce roman fait partie de la sélection du Prix littéraire des Inter-CE et des lecteurs Angevins.
Je n’ai malheureusement pas été sensible à l’écriture de Hoai Huong Nguyen. L’histoire aurait pu être intéressante, d’autant qu’il y a un volet historique relaté avec la guerre d’Indochine et la mobilisation de soldats français, mais je n’ai ressenti aucune empathie pour Mai, ni même pour Yann.
Je suis peut-être passée à côté de quelque chose de précieux (clin d’oeil à Mjo !). Dommage !
Je vais lui donner la note de 4/10 seulement.
Voici donc mon classement :
Le peintre d’éventail de Hubert HADDAD : 10 sur 10,
La silencieuse d’Ariane SCHEDER : 9 sur 10,
Des larmes sous la pluie de Rosa MONTERO : 8 sur 10,
La lettre à Helga de Bergsveinn BIRGISSON : 7 sur 10,
Les Haïkus du peintre d’éventail : 5 sur 10,
L’ombre douce de Hoai Huong NGUYEN : 4 sur 10.
Annie