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Si la météo est décor de nos vies, faudrait envisager de refaire les peintures

Publié le 03 février 2014 par Pimprenelle2

Ceci est un article (quelle prétention, je commence vraiment à me prendre pour une blogueuse !) sans importance, un post (ah tout de même) inutile. Comme tous les autres me direz vous, ce qui n’est pas gentil, pourrait me vexer parce que tellement vrai, mais là franchement un coup de gueule contre la météo dans le genre stérile, on je touche le fond.

Bon là cela fait des jours que nous on je compte les heures où il ne pleut pas, que j’en viens à espérer le mistral (vous savez ce machin immonde qui s’immiscie partout et vous gèle la moelle) libérateur. Et ne croyez pas que je sois originale (non pas que cela soit pour me déplaire, mais bon non à mon désespoir je dois me résoudre à n’être qu’ordinaire) ; à la première goutte des râles se font entendre autour de moi, et des soupirs fusent, telles de minables tentatives pour repousser les nuages.

Bref de l’avis général (détrompez-moi, allez y allez-y si je me trompe) Y EN A MARRE ! STOP ! BASTA ! ÇA SUFFIT ! RAS LE LAC RAS LE BOL OH LÀ HAUT FAUDRAIT SONGER À COLMATER LA FUITE !

Surtout qu’après c’est encore nous qui allons payer la facture … Pour les tuiles cassées, les gouttières surchargées, les parapluies renversés les baleines brisées, les bottes pleines de pluie et le moral en berne, la luminothérapie, les anti-dépresseurs. Ah bien sûr les pisse-vinaigre froid ne manqueront pas à rétorquer qu’alors qu’il pleut nous économisons : plus de shopping, plus de terrasses, plus de pub, plus de sorties … plus de rendez-vous …

Alors je vous le demande comment je vais le rencontrer l’homme idéal de ma vie rêvée de Pimprenelle.

Réponse ?

Rien ?

Bon, puisqu’il semble que décidément il me faut tout faire moi-même … j’ai réfléchie (si si) et décidé qu’à mes vœux adressés à l’univers (oh oh là-haut y quelqu’un ?) je rajoute à mes critères pour du parfait unjourmonprinceviendra, un enfin deux (faut toujours se méfier sait-on jamais si j’étais entendu, un unijambiste pourrait m’échouer) pieds marins … et qu’il se prénomme Noé. Certes j’en suis consciente qu’en ces temps de merde qui nous courent sur le système il ne manquera pas de prétendantes. Mais voilà, désolée (mon cul) mesdemoiselles, moi j’ai truc en plus qui fait crac boom hue, avec moi Noé est peinard : nul risque de repeupler la terre.

Parce que les conneries c’est bon, faut bien que l’on finisse par retenir la leçon, que l’on a vu où cela nous menait le "croissez et multipliez", les ‘ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants". Et puis nous voilà en pleine surpopulation, avec guerres, pollution, épidémies, etc. Les douze plaies d’Egypte avec déluge à la clé !

Alors Noé et moi nous sommes parfait, lui et moi dans le monde entier, sans la moindre bimbo de pacotille, hôtesse prompte à s’envoyer en l’air, secrétaire un peu trop souple dans ses horaires pour nous brouiller le paysage. Oui, MON Noé, c’est toi et moi jusqu’à ce que la mort nous sépare, oui MON Noé va te falloir ramer sec ! Et vogue la galère !

Par contre, je sais bien que l’on pas rien sans rien ni tout sans tout, Monsieur Chat ne peut qu’être du voyage, mais pour le zoo suis pas sûre, de ça va falloir que l’on discute.

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