Les frontaliers résidant en France et travaillant en Suisse avaient jusqu’à présent un « droit d’option » pour couvrir leurs frais de santé, c’est-à-dire le droit de choisir entre le système suisse, l’assurance maladie française ou une assurance privée, souvent moins onéreuse.
Une information (et d’impressionnantes photos) de FR3 Alsace