Georges Nounou : Bleus de Sète

Projet financé par la plate-forme HULULE, Georges NOUNOU nous délivre un joli clip appelé » Bleus de Sète » en attendant la sortie prochaine de son album.

A PROPOS DE GEORGES NOUNOU

Salut à Toutes et à Tous, ceux qui me connaissent et ceux qui ne me connaissent pas, ceux qui m’aiment et ceux qui m’aimeront !

Salut aux curieux de tous les horizons, capables encore et toujours d’aimer la découverte en dehors des sphères médiatiques !

Je m’appelle Georges Nounou, Georges comme Brassens – le poète de mon enfance – et Nounou en souvenir du temps où j’étais instit’ en maternelle ! (Accessoirement c’est aussi mon vrai nom.) Aujourd’hui, je continue de fréquenter les enfants en allant chanter mes chansons au chevet de ceux hospitalisés ou défavorisés et en créant des spectacles musicaux pour les bébés.

Je suis auteur, compositeur et chanteur. Je fais ce (ces) métiers depuis 30 ans (j’ai commencé au berceau !) et j’ai réalisé 14 albums, dont seulement 3 en solo. A l’occasion du quatrième, je voudrais faire un LIVRE. Oui, un véritable LIVRE-DISQUE pour raconter en images, textes et musique, mes 30 ans de vagabondage sur les routes de France et d’ailleurs. TRAVERSER, c’est un véritable carnet de route, de Sète à Séoul, de Tunis à Autun, un recueil d’impressions de voyage, un condensé d’images mouvantes vues à travers la vitre de mon camion…

Ma musique, je l’appelle POWER FOLK. « Power » pour le pouvoir électrique des mots face à l’obscurité et « Folk » parce que je suis tombé dedans quand j’étais petit.

Mes chansons sont déjà enregistrées. Totem Music, mon LMATH (Label de Musiques Actuelles à Taille Humaine!) m’aide à en financer une partie mais la fabrication d’un LIVRE coûte (très) cher.

Cet album est un tournant dans ma vie de chanteur. J’ai toujours écrit, joué et chanté pour exprimer des sentiments, des idées, des révoltes. L’emballage était secondaire.

Dans TRAVERSER, je ne chante que ce que je vois, que ce que j’ai sous les yeux. Le sujet parle sans moi, il existe sans moi, il n’y a qu’à regarder : c’est l’album-photo de mon quotidien dans le temps et l’espace. Il ne m’appartient pas en propre et continuera d’exister après moi, il y a universalité. Je ne suis que le témoin, le photographe.

Du coup, cela nécessite un bel objet, qui en dise plus long que les chansons par elles-même, un objet tactile et visuel autant que sonore, pour retrouver physiquement ces images et ces sensations que tant d’autres ont partagé et partageront au cours de leur vie. Un disque bien sûr, mais aussi un livre.