Le lendemain, je travaillais sur la descente à Avoriaz, la course était tout autant gelée que ma pauvre tête, et je souviens que c’était le suisse Roland Collombin qui avait gagné. Ce samedi allait aussi faire basculer ma vie car l'alcool de la veille m'avait enfin aidé à prendre la décision de quitter définitivement l'école de ski d'Avoriaz et de commencer une carrière dans la branche du ski, côté équipement.
Le reste appartient à l'histoire!