Quatrième de couverture :Le récit d’exil d'un père et sa fille, dont les deux voix, mues par une énergie d'entrailles et tissées sur le fil du rasoir, disent l’abîme qui les sépare : la rage urbaine de la jeune Adama face au mutisme résigné de son père, qui voit comme une malédiction la mort arriver par la main de sa fille inculpée pour un incendie dans la cité. Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
Magazine Culture
Auteur: Carole Zalberg
Titre Original: Feu pour
feu
Date de Parution : 8 janvier 2014
Éditeur : Actes Sud
Nombre de pages : 72
Prix : 11,50€ 10,93€
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Quatrième de couverture :Le récit d’exil d'un père et sa fille, dont les deux voix, mues par une énergie d'entrailles et tissées sur le fil du rasoir, disent l’abîme qui les sépare : la rage urbaine de la jeune Adama face au mutisme résigné de son père, qui voit comme une malédiction la mort arriver par la main de sa fille inculpée pour un incendie dans la cité. Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
Quatrième de couverture :Le récit d’exil d'un père et sa fille, dont les deux voix, mues par une énergie d'entrailles et tissées sur le fil du rasoir, disent l’abîme qui les sépare : la rage urbaine de la jeune Adama face au mutisme résigné de son père, qui voit comme une malédiction la mort arriver par la main de sa fille inculpée pour un incendie dans la cité. Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.