New York, Unité Spéciale // Saison 15. Episode 12. Jersey Breakdown.
Deux excellentes choses dans cet épisode. La première c’est le retour de Alana De la Garza dans la peau de Connie Rubirosa. Ce personnage emblématique de la
franchise Law & Order débarque maintenant dans sa troisième série de la franchise. Après Law & Order et Law & Order : Los Angeles,
c’est maintenant au tour de SVU. J’aime beaucoup ce personnage et même si au fond elle n’apporte rien de nouveau elle permet aussi de changer un peu de Barba (bien qu’il soit
aussi présent dans l’épisode). Car bien que j’apprécie Raul Esparza, je trouve qu’il est beaucoup trop présent et que cela manque un peu les femmes ADA de la franchise (je ne
serais pas contre le retour de bien d’autres personnages d’ailleurs mais bon, ce n’est pas moi qui décide). L’autre bonne chose de cet épisode est sa fin. En effet, depuis le début de la saison
je parle du fait que je suis plus ou moins déçu que SVU n’ait pas voulu exploiter la détresse d’Olivia de façon beaucoup plus pertinente. Fort heureusement que l’on commence à la
plonger dans l’alcoolisme.
C’est bien amené et surtout cela permet aussi de faire évoluer les choses tranquillement alors qu’elle ne se rend même plus compte de ce qu’elle peut consommer. En espérant que Mariska
Hargitay nous bluffe encore un peu d’ici la fin de la saison. Nous sommes donc à la fin de la première moitié de la saison et je trouve que cette histoire d’alcoolisme tombe à pique.
C’est le genre de choses qui peut très bien arriver en vrai. Après avoir été sali en public, avoir été violenté, et humilié par son agresseur, finalement on ne se voit plus de la même façon.
L’attitude d’Olivia évolue donc cette année de façon très sous jacente ce qui permet d’arriver à cette scène de façon logique. Le but n’est clairement de ne pas trop en faire pour éviter la
sensation de sur-jeu ou bien de surfait. Pour ce qui est de l’affaire de la semaine, nous sommes au milieu d’un scandale sexuel et forcément, cela va toucher énormément Olivia. Mais ce n’est pas
la première fois qu’elle prend une histoire à coeur. Dans l’épisode précédent, SVU avait choisi de mettre en avant Amaro. Le pauvre n’est pas encore totalement remis de ses
émotions de la semaine dernière mais cela fonctionne terriblement bien.
Note : 6/10. En bref, un épisode assez classique.