Critiques Séries : The Goldbergs. Saison 1. Episode 13. The Other Smother.

Publié le 30 janvier 2014 par Delromainzika @cabreakingnews

The Goldbergs // Saison 1. Episode 13. The Other Smother.


Je ne suis pas né dans les années 80 et je ne les ai même jamais connues, pourtant je connais très bien le monde du loueur de vidéos. Aussi bien quand j’étais petit quand mes parents ne voulaient plus passer leur argent dans de nouvelles VHS pour des Disney (car oui, croyez moi, je coûtais cher à cette époque là - mais peut-être moins qu’aujourd’hui et ma tonne de Blu Ray et DVD remarquez -) et ensuite avec l’apparition du DVD. Je voulais voir tout un tas de films et plutôt que de prendre le risque d’acheter quelque chose qui ne me plaisait pas, il fallait simplement… le louer. C’était un bon plan qui aujourd’hui est dématérialisé et remplacé par la VOD. Tout cela pour dire que ce que vont vivre Adam et Murray, je l’ai connu… plus tard. En effet, Murray amène son fils au loueur de VHS et il se rend compte que le dernier film qu’il a emprunté n’a pas été retourné. Enfin, en apparence seulement puisqu’il va retrouver plus tard la VHS et se retrouver bannit du vidéo club. C’était une petite histoire assez mignonne plus que drôle. Je ne suis pas très client des crises de nerfs de Jeff Garlin mais plutôt de l’ambiance familiale qui réside ici.
De plus, The Goldbergs se permet également de faire de la grosse référence entre des titres de film et une ambiance que beaucoup de gens qui ont connu (contrairement à moi) les années 80 doivent connaître eux aussi. Ce n’est fort heureusement pas la seule histoire de l’épisode, surtout que la morale de la fin est assez expédiée. Pendant ce temps, Barry se présente pour devenir Senior Class President. Il n’y a pas vraiment de place pour un équivalent en France si ce n’est le délégué de classe ou des élèves. Et Beverly va tout faire pour que son fils gagne. Même le ridiculiser. Le pauvre… J’ai trouvé assez drôle la photo de Barry détournée. C’était quand même amusant. En tout cas, je ne regrette pas du tout de voir à quel point The Goldbergs peut être une petite comédie amusante et charmante. Dommage que cet épisode n’ait pas été plus drôle. Je pense qu’il y avait largement de quoi faire, notamment avec Erica. Cette dernière est vraiment la grosse déception de l’épisode. Disons qu’elle ne sert pas à grand chose et qu’en plus de ça, elle m’a donné envie de l’entarter.
La pauvre, je sais. Mais l’épisode se repose heureusement sur le talent de Wendi McLendon-Covey qui, dans le rôle de la mère de famille est succulente. Elle a beau se retrouver dans des galères assez mauvaises par moment ou dans des situations pas toujours très intéressantes, elle les élève grâce à son talent. Je ne pense pas que beaucoup de membres du casting de cette série peuvent se féliciter d’en faire autant. J’ai également trouvé dommage que l’on n’utilise pas Pops si ce n’est qu’à une place de tapisserie. Surtout que je suis certain qu’il aurait été parfaite dans l’intrigue d’Adam et Murray. Mais bon, je ne suis pas là pour dire ce que Adam F. Goldberg doit faire de cette série. Il doit bien savoir lui-même ce qu’il doit faire avec l’histoire de sa propre famille. Cela doit faire bizarre quand même pour les vrais Goldberg de se voir représentés dans la sorte à l’écran. Et l’on ne peut pas dire qu’il y en ait un pour rattraper les autres. Mais c’est sûrement de bonne guerre. En tout cas, je suis certain qu’ils doivent plus en rire que pleurer.
Note : 5/10. En bref, toujours le même son de cloche. Correct, sans plus.