The Millers // Saison 1. Episodes 11 et 12. Dear Diary / Miller’s Mind.
Je pense que je vais réfléchir un peu vis-à-vis des prochains épisodes. Disons que je ne retrouve plus vraiment depuis quelques temps ce qui faisait la sympathie de cette série. Margo
Martindale s’est goinfrée de bonnes blagues au début et tout semble s’être ramolli d’un seul coup. C’est un comme si la pauvre avait été trempé dans le café et du coup, une fois tout
épongé, il ne reste plus grand chose. Mais cela ne veut pas pour autant dire que The Millers est une mauvaise comédie, simplement qu’elle pourrait être beaucoup plus drôle. Ces
deux épisodes avaient de bonnes idées, pour le premier le journal de Debbie et de l’autre les manipulations de Nathan vis-à-vis de sa mère. Je suis arrivé au point où ce n’est plus suffisant du
tout. Je pense sincèrement qu’il est temps pour The Millers de faire quelque chose ou sinon, je risque de lâcher prise. Je dis ça dans le sens où je ne pense plus poursuivre
l’aventure des reviews jusqu’à la fin de la saison. Je reviendrai donc après ces deux épisodes en mai afin de vous parler des dix derniers épisodes de la saison.
Ce ne seront probablement pas les derniers épisodes de la série mais bon, je remarque je n’ai pas grand chose à dire. Pas grand chose à dire sur une série médiocre. De plus, je pense que par
exemple j’aurais plus de choses à dire sur The Big Bang Theory chaque semaine (mais ne me lancez pas là dessus, vous en parler chaque semaine n’est pas encore dans mes plans,
mais cela pourrait venir avec le temps). Bref, « Dear Diary » tente de mettre en avant le personnage de Debbie. Elle a beau être amusante et guillerette, je n’ai pas
l’impression que ce personnage ait quoi que ce soit de réellement intéressant à nous raconter. La faute à un scénario approximatif qui ne se sert pas de ce fameux journal pour en raconter
réellement plus. Seule la scène où Nathan lit ce qu’il a appris sur la rencontre entre Debbie et son mari était drôle, le reste ne faisant pas vraiment preuve d’originalité. En plus de ça, je
trouve que Carol se ramollie tellement que du coup, elle ne semble plus servir à grand chose. La pauvre Margo Martindale. Pourtant, j’aime beaucoup Greg Garcia,
mais je ne retrouve plus l’énergie dont il peut faire preuve habituellement ici.
Note : 4/10 et 3.5/10. En bref, c’est trop léger, pas assez drôle ni soigné. Je reviendrai en mai pour vous parler de la suite…