Non content d’avoir détruit la famille en autorisant 7000 homosexuels à se reproduire après s’être enfilés une bague (au doigt), la dictature socialiste s’attaque désormais à ce que nous avons de plus précieux, à la chair de notre chair, au fruit de nos entrailles : notre semence. Samedi 1er février les femmes défileront pour avoir le droit de jeter le produit de notre intimité, ne les laissons pas faire !
Dans un mâle acte de courage à l’encontre de toutes les modes et perversions de ce triste siècle, le gouvernement espagnol a montré ses cojones en rendant plus difficile l’arrachage du produit des cojones des messieurs. On aurait pu espérer du gouvernement français qu’il relève ses manches et suive l’exemple ultrapyrénéen. Las, il a préféré ostensiblement baisser sa culotte et tendre son postérieur au lobby écolo-socialo-gay : en supprimant la notion de “détresse” dans la loi de Simone, désormais une femme qui réussit à trouver un centre de planning familial ne sera plus obligée d’avoir mal !
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Une femme porte atteinte à l’intimité de Monsieur Kala (archives de la Rédaction)
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"> - Insatiables
Une femme porte atteinte à l’intimité de Monsieur Kala (archives de la Rédaction)
Cette décision rompt avec vingt siècles de tradition chrétienne qui ont poussé à la modération sexuelle en rappelant à la femme que, par la faute d’Eve qui a croqué, elle “enfantera dans la douleur” parce qu’elle a couché. Cette décision va aussi à l’encontre du rôle pédagogique offert par un service médical de plus en plus indigente conséquence logique d’un virile rationalisation des coûts.
Enfin, elle s’oppose à l’éminent avis d’une partie du corps médical qui estime qu’une femme qui avorte l’a quand même un peu cherché et que, d’un manière générale sans pour autant verser dans une analyse quelque peu partiale, les femmes “font souvent chier”. Etre femme ce n’est pas seulement être belle pour Lui c’est aussi quand même un peu prendre ses responsabilités et faire attention quand on s’abandonne à Jean-Edouard à l’arrière de la voiture de Papa.
En modifiant la loi, on autorise de fait les femmes à tripoter le devenir de leur intimité quand elles le souhaitent. C’est la négation même de la paternité qu’on érige en système ! Nulle quenelle ne viendra occulter cette ignominie : voir disparaître dans la pompe avide d’une médecine dévoyée et socialiste les intérêts de nos bijoux gérés en bon de père de famille [1].
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Illustration des effets délétères de l’influence féminine
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"> - Masculinité en danger
Illustration des effets délétères de l’influence féminine
Car, en niant les droits sacrés des millions de petits homoncules qui vibrionnent gaiement dans la première Fallope venue, c’est un génocide spermatique que la dictature socialo-boboïste cautionne ! Qui se préoccupe du sort de ses millions de petits spermatozoïdes, autant de petits “nous” putatifs qui papillonnent le samedi soir avant d’aller se nicher en mode “gang bang style” dans la matrice d’une amie de passage ou d’une épouse fidèle vers 23h15/23h17 ? Qui comptera les existences brisées des Jean-René, Mozart et Pierre-Kevin ayant pourtant échappés au grand réservoir lubrifié Manix Skin pour finalement se retrouver nulle part parce qu’en plus d’être des losers non nés, ils n’existent pas ?
Pour toute ces raisons, la rédaction appelle les patriotes à dire non aux femmes qui exagèrent et apporte son soutien aux associations SOS très très tout-petits, Amibes amitié, Homoncules Devant et Assistance Cloportes qui défileront samedi 1er février contre les bataillons ménagers pour que cesse le génocide du produit de nos couilles.
Notes
[1] une autre notion qui disparaît