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J’avais pourtant le communiqué de presse depuis une couple de jours, ce n’est qu’aujourd’hui que je m’arrête pour souligner le Prix des libraires, mon prix préféré entre tous les Prix littéraires. Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) a d’ailleurs bonifié le prix qui s’élève maintenant à 5,000 $. Grand bien nous fasse, car les prix à la consommation montent, eux !- La classe de madame Valérie, François Blais (L’Instant même)
- Pomme S, Éric Plamondon (Le Quartanier)
- Le sort de Bonté III, Alain Poissant (Sémaphore)
- L’orangeraie, Larry Tremblay (Alto)
- Les sangs, Audrée Wilhelmy (Leméac)
Je n’ai lu aucun des cinq en lice !!! (pas de pif ou pas de chance cette année).
J’en ai un entre les mains : Le sort de Bonté III, que je me propose de le lire
J’aimerais lire les quatre autres, mais comme ce n’est pas raisonnable, je vais opter pour Pomme S (lequel va gagner, selon moi) et Les sangs d'Audrey Wilhelmy, lequel m’intrigue grandement.
En attendant ce 12 mai au Lion d'Or, place au vote ! L’an dernier, ce sont plus de 220 libraires qui y ont participé : Libraires indépendantes du Québec, coopératives en milieu scolaire, Groupe Archambault, Groupe Indigo et Groupe Renaud-Bray.
Concours pour VOUS, lecteurs : plus de 2 000 $ à gagner
Entre le 11 février et le 12 mai 2014, achetez un des dix livres finalistes en librairie et courez la chance de gagner un de ces prix :
- 1 carte-cadeau de 500 $ dans une librairie participante et les 10 livres finalistes
- 1 carte-cadeau de 300 $ dans une librairie participante et les 10 livres finalistes
- les 24 titres de liste préliminaire
- les 10 livres finalistes ou les 2 livres lauréats.
Résidence d’écrivain à Détroit
Ce programme est ouvert aux écrivains du monde entier qui accepteraient de s'installer à Detroit pour au moins deux ans. "N'importe quel écrivain recherchant une nouvelle maison et une nouvelle inspiration peut candidater"
Idée assez originale que voilà pour les écrivains qui n’ont pas peur du dépaysement. On se dirait, non pas dans une autre ville mais un autre univers. J’avoue que ça peut être inspirant et certainement ultra-économique, ce que vous constaterez en lisant l’article. Autre point non négligeable, j’ai l’impression qu’en se coupant un peu de la civilisation, ça t’oblige à plancher sur ton œuvre. Les distractions sont moins abondantes, donc moins de tentations à fuir les petites pannes d’inspirations normales.
Rien ne s’invente, tout se filme
Il y en a un char pis une barge des livres dont on tire les films, tellement qu’on se demande si les scénaristes ne manqueraient pas d’inspiration. Mais l’idée ici, à mon avis, est de lire avant de voir car la majorité du temps, la source originale de l’œuvre, le livre est meilleur que le film.
Prenez des notes, La librairie Monet nous a dressé une liste de tous les livres tirés de film pour 2014 et même un peu au-delà.