Pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie contemporaine, les certitudes de la «sécuritocratie» officielle ont été ébranlées par les cyber-activistes, des jeunes algériens qui ont utilisé les nouvelles technologies et tout ce que le web leur offre comme outil pour dénoncer l’arbitraire et protéger les droits de l’homme. Un article à lire sur GlobalVoicesFr