Aujourd'hui le billet sera destiné aux personnes peu sensible à la souffrance!!!
Eh oui en 2011 l'artiste britannique Eliza Bennet avait réalisée des réalisations chocs "A woman’s work is never done" (le travail d'une femme n'est jamais terminé) et où elle avait utilisée sa propre main comme tableau et sa peau comme toile de broderie.
Cet art de s'auto-infliger une broderie a été réalisée avec des fils colorés cousus sur la mince couche supérieure de la peau cela afin de vouloir donner à cette main un rendu usée et abîmée par le travail...
L'artiste a voulue, par cette technique de broderie traditionnellement utilisée pour représenter la féminité, représenter ici les effets du travail résultant d'emplois faiblement rémunérés comme le nettoyage, la restauration et les soins.
Eliza prend ainsi le contre-pied et l'applique à son expression contraire afin de contester la notion préconçue que le travail des femmes est facile et léger.
Pour elle ce qui fait une œuvre d'art puissante, c'est quand on se déplace à reconnaître la richesse intérieur des sentiments, tout en embrassant l'incohérence de l'expérience vécue.
Mes sources... via: designboom...