Ce jour marque une grande victoire pour la démocratie.
C’est une nouvelle étape décisive de la rénovation et de la modernisation de la vie politique française, mais aussi une grande victoire pour les socialistes. Adopté dès 2009 par référendum par les militants socialistes, porté avec force et constance par le Parti socialiste depuis de nombreuses années, le non-cumul des mandats est la mise en œuvre de l’engagement 48 du candidat François Hollande.
En votant majoritairement contre cette loi, la droite montre une fois encore son archaïsme et son refus de la modernité. Ce vote montre avec éclat qui est du côté de l’immobilisme, du conservatisme, du monde d’hier et qui est du côté du progrès démocratique, du renouvellement politique, de la marche de l’Histoire.
Le Parti socialiste salue la détermination des députés de la majorité qui ont permis à cette réforme d’être définitivement adoptée. C’est un acquis démocratique qui sera désormais irréversible.
Avec les lois sur la transparence de la vie publique adoptées en 2013, la réforme du non-cumul des mandats contribuera à la restauration de la confiance entre les citoyens et les élus. Le non-cumul renforcera le rôle du Parlement. Il favorisera également la parité et le renouvellement de la vie politique en facilitant l’accès de nouvelles personnalités aux mandats et fonctions électives.
La loi sur le non-cumul signe une révolution démocratique profonde, un tournant dans la vie publique et politique française. C’est ce pour quoi le Parti socialiste s’est tant battu et depuis si longtemps.
Les socialistes sont fiers d’avoir permis cette avancée majeure largement souhaitée par les Français.
Source : PS76