La ville d’Errachidia veut sauver ses oasis à travers le Programme de développement territorial durable des Oasis (POT). En effet, L’Economiste rapporte que trois conventions ont été signées pour la réalisation de différents projets.
La première convention, fruit d’un partenariat avec le Japon et le Pnud, porte sur l’amélioration de l’accueil dans les services publics. La seconde convention, signée entre le POT et la Commune rurale de Ghriss Soufli dépendant de la province d’Errachidia, vise « l’aménagement et l’équipement d’une unité de valorisation des plantes aromatiques et médicinales ». Quant à la troisième, elle permettra de réaliser une décharge publique intercommunale à travers un partenariat entre le POT et la Commune rurale de Oulia de la même province.
Lors de la présentation de son rapport 2013, le comité de pilotage du POT a aussi indiqué que 38 millions de dirhams ont été mobilisés pour 2014 afin de réaliser plusieurs activités destinées à promouvoir l’écotourisme et les infrastructures. Il est aussi question d’améliorer la qualité de vie de la population, de développer des énergies renouvelables et de promouvoir l’agriculture à forte valeur ajoutée.