Ca ne veut pas du tout dire qu'aujourd'hui l'universel ait disparu, loin de là. D'abord parce qu'il y a un universel scientifique qui s'est largement répandu. Mais il y a un rapport du particulier avec l'universel qui s'est profondément transformé. Il faut s'y faire : il n'y a plus de philosophies de la totalité et nous devons affronter cette atomisation générale.
Propos de Pierre Nora diffusés dans le numéro 09978 du Nobs
On peut aussi lire la lettre ouverte à Pierre Nora sur blogs.mediapart.fr