Solidarité grâce à l’imprimante 3D

L’imprimerie 3D est vouée à proposer des alternatives quasi infinies dans plusieurs domaines. Ce qui nous plaît le plus est sans aucun doute les projets qui consistent à redonner une nouvelle vie à des êtres humains.

Dans cette brève, une société californienne fait preuve de solidarité en proposant à moindre coût des prothèses intégralement imprimées en 3D.

Les cas se multiplient au fil du temps et ce n’est pas plus mal. Voici qu’une société à but non lucratif du nom de Not impossible Labs vient en aide aux personnes amputées des membres supérieurs avec des prothèses ne coûtants que 75$.

Seulement six heures suffisent pour imprimer ces prothèses qui ont pour but de venir donner une seconde vie à de nombreuses personnes dont les finances ne le permettent pas. Nous avions eu le cas de ce jeune américain pour qui le père avait conçu une prothèse imprimée en 3D.

Une histoire touchante qui a le mérite d’être connue

L’histoire est plutôt touchante puisque son inventeur, Mick Eberling, avait été touché par un jeune adolescent soudanais qui avait à l’époque perdu ses deux membres supérieurs dans un bombardement. Ce jeune soudanais qui répond au nom de Daniel expliquait alors qu’il aurait préféré mourir plutôt que de devenir une charge pour sa famille.

C’est dans cette esprit que l’inventeur décida de lancer le « Projet Daniel » permettant de trouver une solution à ce problème grâce à la conception de prothèses dont les câbles agissent comme des tendons. Une prothèse qui mérite, selon son concepteur, encore des améliorations mais nous ne pouvons que féliciter ce genre d’initiatives pour le bien public de ces personnes pour qui la vie est devenue un handicap.

C’est dans cette optique que Mick Eberling décida d’installer et de former du personnel dans les hôpitaux Soudanais pour venir en aide aux nécessiteux.

Selon France24 « La prothèse inventée par Not impossible Labs commence à connaître un certain succès dans ce pays, où les nombreux affrontements ont mutilé des dizaines de milliers de personnes. »

Chapeau Monsieur Eberling !