- que François a rencontré François. Ils ne se sont pas raconté l’histoire du président qui rencontre un pape, mais des histoires de François, à coup sûr, en évoquant Mitterrand, Berléand et Cluzet et en fredonnant quelques refrains de Claude et Frédéric. Puis François a tancé François sur ces histoires d’euthanasie, de mariage pour tous, d’avortement, d’union illégitime, de mœurs légères. Penaud, François n’a pas rétorqué à François qu’il devrait de son côté surveiller et punir mieux les prêtres pédophiles et écrire au fronton de toutes les églises du monde que le préservatif protège du Sida. Bien sûr que je spécule, mais je n’y suis pour rien, c’est mon cerveau qui gesticule !
- que Philippe El Shennawy, 59 ans, l'un des plus anciens détenus de France, a bénéficié d'une libération conditionnelle après 38 ans de prison. Il portera un bracelet électronique pendant 2 ans. Rappelons qu’il avait été initialement incarcéré après un braquage avec prise d’otages qui n’avait fait ni mort ni blessé. Puis les peines s’enchaînèrent pour violation d’interdiction de séjour et évasion. Soit, soit, soit. Imaginons qu’on dise soit. Alain Penin, meurtrier et violeur récidiviste, avait été libéré, lui, en conditionnelle, au bout de 4 ans et 4 mois, sans bracelet. Y a-t-il un hic quelque part ? Bien sûr que je spécule, mais je n’y suis pour rien, c’est mon cerveau qui gesticule !
- que, dans le désordre, rupture du cessez-le-feu au Soudan du Sud, manifestations sanglantes à Kiev, troisième bombe qui explose au Caire, attaques meurtrières au nord du Mali. Il y a tellement de sujets amusants qu’il va falloir faire rembourser par la Sécu les injections d’acide hyaluronique qui nous permettraient de nous paralyser les zygomatiques qui fatiguent à force de s’esclaffer. Sans parler de l’état de nos cuisses tellement on a envie de se taper dessus ! Heureusement que certains de nos comiques ne sont pas drôles, car on serait tout près du claquage et donc du visage qui s’affaisse et donc, par extension hilarante, de la tête de cul. Bien sûr que je spécule, mais je n’y suis pour rien, c’est mon cerveau qui gesticule !