J’espère que l’année 2014 commence bien et se passera bien pour chacun de vous. Je voudrais commencer cette année par une interpellation que j’ai à l’esprit depuis plusieurs semaines et qui me semble miner plusieurs talents.
Vous connaissez sans doute Jean Paul, l’ami, le frère, le camarade…ou simplement vous-même. Le gars plein d’idées et de talents. Ou même le gars qui ne sait plus où donner la tête. Ou encore le gars qui sait exactement quoi faire…Mais qui est encore là à se poser des questions…ou à arranger les choses dans sa tête.
Hé bien Jean Paul a quelque chose entre les mains. Ceux qui l’écoutent sont bien obligés de le reconnaître, et ceux qui l’ont connu dans le passé savent bien qu’il est plein de potentialités.
Figurez-vous donc que ce Jean Paul l’ami, le frère, le camarade ou vous-même…malgré toutes ses cogitations et tentatives est toujours sur place. Ses projets ‘ont pas vraiment bougé et si sa pensée semble devenir de plus en plus juste…on a du mal à voir la proportionnalité avec le changement concret dans ses activités.
Jean Paul stagne…Et finalement, ca fait des mois, des années que ca dure. Il a beau trouver des raisons, se fermer les yeux, espérer en l’avenir. Tout est là pour lui rappeler que sa situation stagne et que malheureusement quelque chose ne va pas….
Oui, quelque chose ne va pas. C’est de cela dont il est question. Parce que c’est aussi ce qui est le plus difficile…arriver au point où enfin, on réalise que tout ne tourne pas rond et que quelque chose de fondamental ne va pas. Jean Paul a finit effectivement par se le dire, mais il faut reconnaître que cela non plus ne change pas grand chose…
Et si Jean Paul, le frère, l’ami, le camarade ou simplement vous-même, acceptait de revoir un peu les choses…et de se remettre lui…et rien d’autre…et personne d’autre en question….Peut-être alors, 2014 lui apportera des perspectives différentes.
Et si Jean Paul cessait d’attendre prophéties, miracles ; s’il cessait de donner tord à tout le monde ; s’il cessait d’avoir une explication pour chacun de ses échecs ; s’il cessait de voir normal ce qui est anormal…s’il se donnait le courage de voir qu’il y’a un problème…qui est essentiellement lié à lui…oui, toute une perspective serait changée…
Jean Paul, fais quelque chose s’il te plait….Et que le cycle de l’inachevé trouve enfin des aboutissements heureux.