Le « lanceur d'alerte » à l'origine des informations sur cette « normalisation » est le « Consortium international des journalistes d'investigation » On peut lire l'intégralité de leur article (en anglais) en cliquant ici.S'il restait de Maoïstes de par le monde, ce serait un coup dur pour eux. Mais ils ne sont pas nombreux. La preuve vivante est M. Barroso, qui le fut, parait-il, dans sa jeunesse, il y a longtemps, longtemps.La Chine, d'ailleurs, parle bien plus de ses 400 et quelque millions de riches et même ses 122 milliardaires, d'après la revue Forbes, grand spécialiste de cette faune. (Faune dont parle aussi le très chinois « Quotidien du Peuple » à lire en ligne, en cliquant ici)Où est la surprise ? En Chine, comme ailleurs, les riches vivent comme des riches et les enfants, cousins, parents ou affidés des riches vivent comme leurs équivalents d'autres pays.La « normalisation » ne va pas jusqu'à l'ouverture démocratique à toutes les expressions, surtout internes. D'ailleurs, les « normalisés » côté portefeuille auraient plus de mal à le faire si les journalistes chinois de l'intérieur, qui ne manquent pas de courage, pouvaient s'exprimer à leur gré.CQFD : si on veut encore et le plus longtemps possible, suivre les pulsions suaves « par l'odeur (défiscalisées) alléchés », il faut maintenir la liberté de la presse au sens du PCC, tout de même plus commode...et plus rentable pour une certaine élite nationale.Et nous, avant de donner des leçons et trop pousser la chansonnette, il faut qu'on termine de balayer devant notre porte, pas si propre que ça !©Jorge