Comment expliquer l’engouement des français pour la cigarette Electronique ?
L’engouement pour la cigarette Electronique est le reflet du désir de se sevrer en toute liberté, de choisir son moment et surtout d’y arriver seul. De plus la cigarette Electronique partage des similitudes ( la fumée, le geste, la fréquence…) avec la vraie cigarette et convient très bien à beaucoup de fumeurs. C’est une étape intermédiaire, une manière de fumer autrement dans le seul but d’arrêter le tabac.
Pourquoi aller vers la cigarette Electronique ?
La cigarette Electronique est particulièrement adaptée à tous les fumeurs qui ne veulent pas passer par un circuit médical pour arrêter de fumer.
Demander de l’aide à un médecin ou un pharmacien est parfois mal perçu et mal vécu. Aller vers la cigarette Electronique, est une démarche autonome et valorisante. C’est là que réside le succès de la E-cigarette.
La cigarette Electronique et les lieux publics
L’interdiction de vapoter dans les lieux publics n’est pas effective.
La Ministre voulait l’interdire mais, le Conseil d’Etat souhaite que cette question soit abordée dans la loi de santé publique de l’année prochaine. Il faudrait l’interdire au moins dans les hôpitaux et les écoles. La SNCF l’a fait, Michelin, l’a fait, la RATP l’a fait, pourquoi pas les autres ? » dit le Dr Bertrand Dautzenberg (service de pneumologie, Hôpital de la Salpêtrière, Paris)
Pourquoi aller vers la cigarette Electronique ?
La cigarette Electronique est particulièrement adaptée à tous les fumeurs qui ne veulent pas passer par un circuit médical pour arrêter de fumer.
Demander de l’aide à un médecin ou un pharmacien est parfois mal perçu et mal vécu. Aller vers la cigarette Electronique, est une démarche autonome et valorisante. C’est là que réside le succès de la E-cigarette.
La cigarette Electronique et les lieux publics
L’interdiction de vapoter dans les lieux publics n’est pas effective.
La Ministre voulait l’interdire mais, le Conseil d’Etat souhaite que cette question soit abordée dans la loi de santé publique de l’année prochaine. Il faudrait l’interdire au moins dans les hôpitaux et les écoles. La SNCF l’a fait, Michelin, l’a fait, la RATP l’a fait, pourquoi pas les autres ? » dit le Dr Bertrand Dautzenberg (service de pneumologie, Hôpital de la Salpêtrière, Paris)