Fernanda Eberstadt, Le chant des gitans, 2007. Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'effet est raté. Dès la préface, un certain John Updike démonte tout : le projet, l'auteur, le résultat, les protagonistes, en l’occurrence, les gitans. On se demande encore pourquoi et comment l'auteur a pu donner son aval à une telle préface, si ravageuse qu'elle en arrive à vous dissuader de commencer la lecture du livre. Comme je suis aventureuse et que la lecture des témoignages de ce genre attise ma curiosité, j'ai franchi le cap de l'introduction peu flatteuse et me suis très vite rendu compte que le rendu du contenu était lui aussi contraire à l'effet que Fernanda Eberstadt a voulu lui donner.
Fernanda Eberstadt, Le chant des gitans, 2007. Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'effet est raté. Dès la préface, un certain John Updike démonte tout : le projet, l'auteur, le résultat, les protagonistes, en l’occurrence, les gitans. On se demande encore pourquoi et comment l'auteur a pu donner son aval à une telle préface, si ravageuse qu'elle en arrive à vous dissuader de commencer la lecture du livre. Comme je suis aventureuse et que la lecture des témoignages de ce genre attise ma curiosité, j'ai franchi le cap de l'introduction peu flatteuse et me suis très vite rendu compte que le rendu du contenu était lui aussi contraire à l'effet que Fernanda Eberstadt a voulu lui donner.