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Les mauvaises histoires font le bon storytelling

Publié le 21 janvier 2014 par Dangelsteph

Les mauvaises histoires font le bon storytelling

Les mauvaises histoires, ce sont les mauvaises expériences, les échecs, ce qu’on voudrait ne jamais avoir vécu, qu’on tente d’oublier… On sait bien, au fond de soi, que le bon storytelling est celui qui intègre aussi les histoires d’échecs.

Pourquoi ? Parce qu’on apprend beaucoup plus de ses échecs que de ses succès.

Un exemple :

L’ONG canadienne Ingénieurs sans frontières a engagé une démarche exemplaire. Sachant qu’avoir des échecs est inévitable, et qu’en parler est difficile, elle a créé le site web Admitting Failure. Tout est dans le titre : il s’agit d’admettre les échecs, pour en retirer quelque chose. Et ne pas la répéter. Car, comme l’indique le site : la seule mauvaise erreur est celle qui se répète.

Sur Admitting Failure, on peut donc lire des histoires d’échecs, et on peut aussi les commenter avec des mots clés, ce qui sert en même temps d’indexation. On peut bien entendu aussi poster les siennes. Et aussi télécharger le guide pratique pour créer une base de données d’histoires d’échecs dans sa propre entreprise ou organisation.

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