C'est toujours le mĂŞme souci en cas de catastrophe naturelle : les officiels annoncent un certain nombre de morts, et les autoritĂŠs mondiales un autre. Les journalistes, pris entre deux feux, ne savent plus vraiment quels chiffres annoncer, ce qui n'est pas sans rappeler le mĂŞme fait dans d'autres circonstances.