Chiffres e-commerce : Bilan 2013 et perspectives 2014 !

Publié le 16 janvier 2014 par Cibleweb

Maintenant que l’année 2013 est terminée il est temps de faire un point sur les derniers chiffres e-commerce !

Voilà un résumé de l’article du Journal du Net : 42ème édition de l’indice e-commerce trimestriel, faisant état des évolutions du secteur e-commerce sur l’année passée et surtout sur le quatrième trimestre 2013.

Une fin d’année 2013  stagnante pour l‘e-commerce avec un panier moyen en baisse…

Sur l’année 2013 l’e-commerce en France n’a augmenté que de 11% en global. Si l’on se cantonne seulement au 4éme trimestre de l’année passée, l’évolution du e-commerce n’a été que de 8%.

Par ailleurs, si l’on s’intéresse au panier moyen français, celui-ci a perdu 4.81 euros.

En 2013, ce sont 40,26 milliards d’euros de transactions qui ont été enregistrées, contre 36,20 milliards en 2012. Ce qui montre l’arrivée à maturité du secteur de la vente en ligne.

Explosion du paiement one-click

En effet, ce mode de paiement a enregistré une croissance 3 fois supérieure à celui du nombre de transactions. Qu’est-ce que le paiement « one-click » ? C’est simple en fait. Ce sont les internautes qui font confiance aux sites e-commerce et enregistrent leur carte bleue ou moyen de paiement. Quand ils souhaitent réaliser une nouvelle commande ils n’ont alors plus à retaper toutes les informations de paiement..

La valeur du panier moyen ne cesse de s’effondrer

La panier moyen est maintenant passé de 86,31 à 81,51 euros en 2013.

La crise a surement un rôle à jouer ici, mais en plus, les internautes se disent de moins en moins enclins à céder consciemment à une publicité ou une action marketing. Surmontent-ils mieux leurs impulsions d’achat ?

Un panier moyen qui baisse également à la période de Noël

Si l’on compare les paniers moyens des 4èmes trimestre 2012 et 2013, le montant moyen des transactions en ligne a baissé de 5,80%. De 82,12 il est passé à 77,35 euros.

D’après les spécialistes, le panier moyen du e-commerce va continuer de baisser jusqu’à atteindre celui du commerce physique qui tourne autour d’une cinquantaine d’euros.