Depuis le 30 décembre, les combats n’ont connu aucun répit.
De nombreux civils sont toujours pris au piège à Fallouja, où la situation empire de jour en jour. Des centaines de personnes ont été contraintes de quitter leur foyer. « Nous avons reçu des informations selon lesquelles les réserves de vivres et de carburant seraient en passe de s’épuiser, notamment à Fallouja », explique Patrick Youssef, chef de la délégation du CICR en Irak. « Si les coupures de courant se poursuivent et les stocks de fournitures médicales ne sont pas reconstitués, les structures de santé risquent très vite de ne plus être en mesure de dispenser aux patients des soins adéquats. » (Lire la suite)