Appelant à cette solidarité foncière qui nous unit face à la vie, au temps et à la mort, l'écrivain étaie son propos de références philosophiques, religieuses, ethniques, maximes, citations, poèmes,... saisissantes intuitions d'une réalité qui nous dépasse, manifestes révélations d'une culture abyssale.
" Je parle de la conscience de la mort et non de la mort effective. Vous l'aurez compris, je ne fais donc absolument pas l'apologie de la mort. Il s'agit au contraire d'assumer plus lucidement la vie, de vivre pleinement."
Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie, François Cheng, essai, Ed. Albin Michel, oct. 2013, 180 pp, 15 €