"Suite(s) impériales(s)" : entre folie et maîtrise.

Suite(s) impériale(s) de Bret Easton Ellis (Robert Laffont)

Cette suite de Moins que zéro nous permet de retrouver le personnage de Clay et ses compères dans un Los Angeles oscillant toujours entre ombre et paillettes...

Si j'aime l'écriture rythmée de Bret Easton Ellis, sa capacité à faire des phrases de vingt lignes limpides et haletantes, j'ai moins accroché sur l'histoire... En fait, pour être honnête, je n'ai rien compris à cette histoire. Pour quelle raison? Je l'ignore, j'ai dû manquer de concentration certainement... Il faut dire que les intrigues de Bret Easton Ellis sont toujours complexes et hallucinées.

En attendant, aussi absurde que cela puisse paraître, je me suis tout de même régalée de l'écriture de l'auteur, et de l'ambiance borderline du roman.

Je n'irais cependant pas jusqu'à vous le conseiller, sauf aux fans de l'auteur bien sûr.