De tous ces mots, au filtre de mes biais de lecture, je retiens que le monde est en « colère », que le numérique (ou plutôt le digital) devient une sorte d’étau de nos libertés (« emprise numérique »). Et que la « pollution atmosphérique » a fait une inquiétante entrée dans notre vie.
Tout ceci est bien sombre. Ce qui n’est ni le cas de Jeanne, ni celui de son exposition.