J'ai partagé dans ce blog mes lectures de deux romans de Lucien Suel, La patience de Mauricette, et Blanche étincelle.
Récemment, j'ai trouvé sur Internet deux lettres adressées à Mauricette, l'une écrite par Christine Jeanney, l'autre par Lucien Suel. Je vous invite à les lire en cliquant sur les noms des deux épistoliers. Elles m'ont ému au point que j'ai eu envie, à mon tour, d'écrire ces quelques mots :
Mauricette quelque part, Mauricette quelqu’un, Mauricette qui prend son temps et l’assied sur ses genoux et ne l’insulte pas mais le berce comme un enfant sauvé des eaux. Merci d’avoir pensé à lui écrire, à elle qui n’est qu’écriture.