L'Argentine de Mme Kirchner se donne un nouveau chef des armées pas si vierge que ça...

Le Sénat de là-bas a ratifié la nomination à la tête de l'armée d'un militaire dont l'excuse concernant sa situation au moment de la répression conduite par la dictature des années 80 est « qu'il ne savait pas ce qu'il se passait » et « qu'il était jeune et suivait les ordres de sa hiérarchie »Pourtant, l'ONG locale Centro de Estudios Legales y Sociales n'écarte pas la possible participation de ce militaire dans des « cas de violation de droits humains »Et trois procédures judiciaires initiées par des familles de disparus pendant la dictature le concernent.Pour mémoire, la dictature militaire à laissé un solde, entre 1976 et 1983 de 30.000 morts ou disparus et 500 enfants « volés »Ce très gradé Monsieur Milani voudrait illustrer l'adage « les chiens aboient, la caravane passe »©Jorge