Le défenseur de Liverpool, Mamadou Sakho, arrivé l’été dernier en provenance du PSG, assure s’être bien intégré à son nouveau club et sa nouvelle vie et adorer jouer en Premier League.
Dans les colonnes du quotidien français, Le Parisien, Mamadou Sakho raconte sa nouvelle vie à Liverpool. Entre cours d’anglais et convalescence, le défenseur international français n’a pas vu passé les fêtes : « je prends des cours deux fois par semaine avec une professeur que je connaissais à Paris. A chaque fois, c’est elle qui vient dans ma maison de Liverpool. C’est plus simple pour moi. Et il y a déjà ma femme qui parle anglais. Tout cela m’aide » explique le joueur des Reds.
Car dans le vestiaire du Liverpool FC, l’anglais est une langue obligatoire malgré les diverses nationalités présentes dans l’effectif de Brendan Rodgers : « Tout lemonde doit parler la langue locale. Ce qui est logique. Mais je m’appuie aussi sur Aly Cissokho (ex-joueur de Lyon) et Kolo Touré (international ivoirien) qui me traduisent pas mal de choses quand on fait des réunions techniques. Il y a des choses assez pointues que je ne traduis pas encore très bien. Je comprends les grandes lignes mais j’ai besoin de maîtriser tous les détails techniques » a-t-il précisé.
Un vestiaire dans lequel il côtoie une star, Luis Suarez, après avoir joué aux côté d’une autre, Zlatan Ibrahimovic : « Les deux font partie d’un monde à part : celui des attaquants d’exception. Ils sont quatre ou cinq à ce niveau. Suarez et Ibra sont de smachines sur une pelouse. A un moment ou à un autre, tu sais qu’ils vont marquer » estime le défenseur français.
Enfin, le joueur termine en laissant paraître sa joie d’évoluer dans les stades toujours pleins de Premier League : « Tout est différent, dans les stades mais aussi en dehors. Et c’est encore plus fort pendant le Boxing Day, au lendemain de Noël. Là, on sent tout le poids de la tradition. Les gens ne travaillent plus et on a l’impression que la ville s’arrête de vivre pour ne plus s’intéresser qu’au foot. Là-bas, le Père Noël est presque obligé de jouer au foot » conclut Mamadou Sakho.
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