En France (comme dans d’autres pays), la « répression financière » consiste à inciter fortement par des voies réglementaires et législatives à l’achat de la dette nationale, ce qui conduit à des niveaux de valorisation économiquement absurdes pour les actifs obligataires d’état et donc à des taux d’intérêt sur les emprunts d’État anormalement bas.
Par Mory Doré, à lire dans l’Agefi
è