D'une part, une fuite des voix centristes parisiennes vers le PS et plus encore l'abstention.
D'autre part, un effet repoussoir de la campagne de NKM elle-même qui n'a créé aucune dynamique.
Dans ces conditions, au deuxième tour, l'écart entre Hidalgo et NKM, malgré le renfort du MoDem, bouge à peine, ne permettant en aucune manière la victoire.
On mesure à quel point l'émergence d'une offre nouvelle à droite et au centre, avec Paris Libéré, est une nécessité pour reconquérir cette ville qui mérite mieux que le triste règne de la retraitée-dauphine de Delanoë.