165 - la question de l’unification des forces

Se poser la question de l’unification des trois grandes forces connues (FG,FEM,FN) suppose de s’interroger sur leurs principes communs à partir desquels elle déploieraient leurs différences. Mais une force étant l’expression d’une énergie se traduisant en mouvements, la question se déplace vers l’origine de leur énergie agissante. Il s’agira désormais de savoir si ces trois forces puisent leur énergie dans un fond commun ou si au contraire nous aurions une énergie particulière attachée à chaque force.

Mais ce questionnement renvoie à un autre encore plus fondamental : quelle est la source de l’énergie attachée à la matière en générale ? L’équation E =mc² nous enseigne que la matière de la particule contient de l’énergie. Celle-ci est héritée lors de l’émergence de la particule par transformation des photons en matière. C’est donc là l’unique mode de parution originelle de l’énergie, et toutes les autres formes n’en peuvent être que dérivées. Et en effet l’expression des forces telles que la FG, la FEM ou la FN, suppose l’existence et la présence de particules. Ces particules conservent leur énergie dans leur masse, qu’est-ce à dire ? L’énergie n’étant saisissable que par et dans le mouvement, il leur faut donc conserver du mouvement pour maintenir intacte leur énergie de masse. Cette masse est donc en rotation permanente, elle doit tourner indéfiniment sur elle-même pour conserver son énergie héritée à sa création. Dés lors les trois forces ne peuvent s’alimenter qu’à cette source commune qu’est l’énergie de masse des particules en rotation.

Nous n’entrerons pas dans l’analyse complexe des de ces 3 forces de puissance différente qui, dans un atome composé d’électrons, de protons et de neutrons,  s’expriment simultanément. Nous nous contenterons d’affirmer qu’une force étant l’expression d’une énergie et celle-ci se mesurant dans le mouvement, c’est bien cette rotation des particules, ce mouvement de spin qui entretient en permanence les liaisons gravitationnelle, électromagnétique et nucléaire dans l’atome. Car en effet si le mouvement propre des particules n’engendrait pas des actions d’attraction ou ou répulsion, elles seraient totalement inertes, absolument non réactives et aucune force n’en serait issu.