Les jeunes Pussy Riot, récemment libérées par Poutine pour soigner son image avant les jeux olympiques de Sotchi, n'ont pas leur langue dans la poche.Et c'est une chance, car elles dévoilent l'état lamentable de ce que l'on appelle justice dans ce pays.C'est urgent de s'y intéresser et de mêler son grain de sel, car une fois les jeux terminés, rien ne garantit qu'un gros retour de bâton poutinesque sera évite.Chers visiteurs, je ne peux pas faire mieux que de vous encourager à lire cet article, publié sur le Huffington Post à ce sujet, ici.Jorge