Il n'est pas possible de mener à terme une réforme constitutionnelle avec moins de 3/5 de voix au parlement « réuni en Conseil » (sauf référendum)Du coup, la première tentative de mettre en branle cette promesse électorale est tombée à l'eau, puisqu'il semblait évident que le gouvernement n'aurait pas les moyens de convaincre assez de parlementaires pour atteindre cette cote.Il en serait question de remettre l'ouvrage sur le métier. Personnellement, j'en serai content (ce dont gouvernement et parlementaires, en plus d'une forte proportion des 65 millions de compatriotes s'en fichent, comme de leur première chemise). Mais s'il fallait se taire à chaque fois qu'on n'est pas assuré d'être entendu, on finirait par assécher les cordes vocales.C'est le même raisonnement concernant ma modeste personne qui m'amène à souhaiter que le gouvernement se lance dans l'affaire.D'abord, parce qu'il l'a promis. Et il l'a promis parce qu'il le croyait nécessaire. Et il le croyait nécessaire parce que le fonctionnement de la justice en serait amélioré ou du moins, pourrait l'être.Intérêt subsidiaire, comme qui parlerait de dommages collatéraux : cela obligerait chacun à clarifier ses positions et plus, à les expliquer.Pour le futur proche – je pense à 2017 – ce serait un début, avant candidatures individuelles, de savoir, sur ce « petit » aspect qu'est la justice, ce que chaque groupe en pense.Vraiment ce que chaque groupe en pense et non pas, si on accorde au sujet toute son importance, que faire pour que le projet « des autres » échoue, qui est à la Politique nationale ce que une visite nocturne aux habitants (es) du Bois de Boulogne est à l'amour.Alors, chiche, on se lance, camarades de la majorité et concitoyens respectés de l'opposition ?Jorge
Reforme du Conseil supérieur de la Magistrature : deuxième tentative
Publié le 07 janvier 2014 par JorgeIl n'est pas possible de mener à terme une réforme constitutionnelle avec moins de 3/5 de voix au parlement « réuni en Conseil » (sauf référendum)Du coup, la première tentative de mettre en branle cette promesse électorale est tombée à l'eau, puisqu'il semblait évident que le gouvernement n'aurait pas les moyens de convaincre assez de parlementaires pour atteindre cette cote.Il en serait question de remettre l'ouvrage sur le métier. Personnellement, j'en serai content (ce dont gouvernement et parlementaires, en plus d'une forte proportion des 65 millions de compatriotes s'en fichent, comme de leur première chemise). Mais s'il fallait se taire à chaque fois qu'on n'est pas assuré d'être entendu, on finirait par assécher les cordes vocales.C'est le même raisonnement concernant ma modeste personne qui m'amène à souhaiter que le gouvernement se lance dans l'affaire.D'abord, parce qu'il l'a promis. Et il l'a promis parce qu'il le croyait nécessaire. Et il le croyait nécessaire parce que le fonctionnement de la justice en serait amélioré ou du moins, pourrait l'être.Intérêt subsidiaire, comme qui parlerait de dommages collatéraux : cela obligerait chacun à clarifier ses positions et plus, à les expliquer.Pour le futur proche – je pense à 2017 – ce serait un début, avant candidatures individuelles, de savoir, sur ce « petit » aspect qu'est la justice, ce que chaque groupe en pense.Vraiment ce que chaque groupe en pense et non pas, si on accorde au sujet toute son importance, que faire pour que le projet « des autres » échoue, qui est à la Politique nationale ce que une visite nocturne aux habitants (es) du Bois de Boulogne est à l'amour.Alors, chiche, on se lance, camarades de la majorité et concitoyens respectés de l'opposition ?Jorge