Il y a peu, nous vous avons posé sur notre page Facebook l’énigme suivante :
JE SUIS LA PAGE FACEBOOK LA PLUS ACTIVE SUR AGDE et alentours avec une moyenne constante de 900-950 personnes qui en parlent en permanence (quelque soit la saison) et des « like » qui approchent les 100 sur certains messages ! QUI SUIS JE ?
Trois indices :
- Ce n’est pas nous ! Et pourtant, nous aimerions bien…
- Oubliez les pages avec des nombres de « j’aime » très impressionnants. Ça, rien de plus simple que de les obtenir par triche. Un fait divers récent à Nice vous en a donné la preuve. Idem, ce n’est pas parce que l’on a cliqué sur « j’aime » qu’on lit ce qui s’y trouve (ça doit être notre cas, non…).
- Pas la peine non plus de chercher du côté des activités saisonnières, que personne ne suit le reste de l’année.
Le réponse dans cet article : Il s’agit de la page fan de CHRISTINE BRANDANI PHOTOGRAPHIES.
Elle réussit l’exploit d’avoir en permanence plus de 900 personnes qui en parlent. Facebook est par bien des aspects un miroir aux alouettes. Bien des pages s’enorgueillissent d’un nombre de mentions « j’aime » impressionnant. Ce qui en fait n’est guère difficile à obtenir (l’histoire récente du bijoutier de Nice l’a prouvé). En fait, la seule variable à prendre vraiment en compte est le nombre de personnes qui en parlent.
Une page qui fonctionne bien, selon presque tous les analystes du web, doit avoir un rapport, un ratio d’au moins 40%, soit 1000 personnes qui aiment et 400 qui en parlent. Sur la page de Christine, on atteint des sommets ! Il vous suffit de regarder cette capture d’écran réalisée ce jour : 1250 j’aime pour 1018 personnes qui en parlent ! Preuve que cette page est très active et surtout mobilise des lecteurs fidèles. Il en va de même pour les clics sur ses publications, pourtant nombreuses, les commentaires ainsi que les partages.
Anne Sophie a rencontré cet OVNI du web agathois afin d’un peu mieux connaitre celle qui se cache derrière ces milliers de photos. Nous avons tous deux découvert une femme charmante, passionnée mais également complexe et d’une sensibilité à fleur de peau. A vous d’en juger dans l’entretien qui suit.
Dans la seconde partie de cet entretien, nous revenons avec Christine sur certaines de ses photos auxquelles elle tient particulièrement. Elle nous en explique, comme toujours avec passion, les motifs de ses choix ainsi que la façon dont s’est déroulée la prise de vue de ces clichés.
Pour finir, que dire ? Sinon qu’Anne Sophie et moi-même avons passé une excellente après-midi avec Christine et, je le pense, avons réussi à en savoir un peu plus sur cette personne très attachante, mais également très secrète. Elle continuera à accompagner nos soirées facebookiennes avec ses indispensables couchers de soleil et à nous faire partager ses découvertes souvent insolites d’un patrimoine agathois par trop méconnu.
Signalons que Christine BRANDANI exposera ce mois dans la galerie du Patrimoine (nom qui lui sied parfaitement) dans la cadre d’une exposition réunissant plusieurs photographes, organisée par la MISSION PATRIMOINE de la Cité dirigée avec talent et intelligence par Sophie BANNY.
Un dernier mot, avoir des appareils valant des sommes déraisonnables, ne suffit pas à se proclamer photographe. Métier véritable dont beaucoup de passionnés talentueux, comme Christine, refusent l’appellation. Il faut de la patience, du courage, un œil pour réussir de bons clichés. Et même une connaissance approfondie de Photoshop ne suffit pas à transformer un amateur en photographe. Sauf, parfois et hélas, pour rogner et s’approprier la photo d’un autre. Nous, comme d’autres, venons d’en être victimes de la part du premier média régional. Alors qu’il aurait simplement suffit d’un « s’il vous plait » pour arranger les choses.
Pour connaitre, découvrir un peu plus Christine, une seule adresse, sa page Facebook :
https://www.facebook.com/pages/Christine-Brandani-Photographies/250063111672036