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En sortant je crois que je serais bien passée au travers de l'écran comme pour la Rose Pourpre du Caire pour rester avec les deux ou trois familles de Guillaume Galienne : celle qui est la sienne sa mère sa grand-mère et ses tantes, son père aussi, le theâtre et la radio. Pour faire un tour de manège aussi les yeux fermés. On était 5 à ne pas décoller des sièges et à attendre la toute fin du générique. A cause de quoi des non-dits sur la sexualité ? Du toujours plus pour séduire qui étrique l'expression du sentiment. Des empreintes du tout de l'enfance, des rencontres, sur la pudeur ?De scènes qu'on savait à l'avance hilarantes par l'excellence du jeu de l'acteur, l'auteur ? Par la sensibilité de Guillaume Gallienne un Visconti à sa façon... plus de muraille entre les riches les pauvres, de l'élégance et du louvoiement possible partout entre les hommes les femmes le sexe : l'hétérosexualité et l'homosexualité. Et le sentiment lié à la pudeur plus qu'au sexe ?! Mais bon inutile de monter des murailles du grand froid entre tous.... Et l'apprentissage ?! Passages obligatoire examinatoire par L'Eros Center, du Wagner pour se donner du cœur au sexe , ou du sexe au cœur? Et pour se construire il faut bien choisir un côté un versant une préférence mais pas plus immuable que mon goût prononcé pour les légumes crus....Bref c'est du vrai théâtre cinéma comme je les aime et je n'ai pas vécu meilleur voyage depuis longtempqs... Une phrase à retenir : "lâcher les rennes les étriers fermer les yeux et faire confiance à l'animal" lui dit son maître d'équitation quand il décide de combattre son bloquage sa peur des chevaux...en pratiquant dans un manège avec un œil affectif extérieur.