Le mois de décembre fût intense, bien rempli, entre les doutes, les moments même sans énergie, puis les instants magiques, les mots, les changements, les nouveaux ponts vers l'avenir. Ici sur ce blog, mais aussi dans d'autres articles, ailleurs sur d'autres blogs, je fus occupé, je reste occupé par le projet, ambitieux de créer une nouvelle entreprise, de vivre de mes créations. Une nouvelle vie s'offre à moi, plus grande encore, avec tant de changements, tant d'envies !
Ainsi le temps est passé, vite, trop vite, avec les fêtes derrière !
Et pourtant je voulais vous parler de mon déjeuner avec Guillaume.
Oui un déjeuner dans le quarier St Germain, un burger café à la parisienne, une table dans un coin, en amoureux, des sourires, elle si belle, avec une jolie robe, des talons, son parfum. Et juste en face un cinéma, quelques bonbons (oui je suis gourmand, et nostalgique des Haribo). Main dans la main, deux tickets, un cadeau offert par concours de la délicieuse et pétillante Blogueuse DAME SKARLETTE.
Guillaume était là pour nous, sur sa scène, dans son film, avec sa mère, avec sa psy, avec nous surtout. Nous avons pris les plats, les entrées, les desserts, les images d'un film, d'un humour ciselé. Tout un menu, tout en voyage dans le temps d'une vie, une caricature ou une sombre réalité reprise humour, je ne veux savoir, car j'ai croqué à pleines dents ce film. Du bonheur, une quête avec des détails de vie, des préjugés énormes, mais si vrais, une quête donc de l'identité. Un déroulement dont je n'ai vu le temps s'échapper, car ici, il y a avait un homme, un jeune homme, une vie, des sensibilités et tant de clins d'oeil.
J'ai adoré le film de Guillaume Gallienne, un acteur, un comédien juste, qui rit de la vie, de sa vie peut-être, de nos idées pré-conçues, de la beauté des âmes, du regard des autres. J'aime cette finesse, cette quiétude quand le film se finit, et quand on se sent toucher.
une scène cul...te
La magie du grand écran a fonctionné, j'ai pris un repas d'images sans voir arriver la fin.
Et puis main dans la main, avec un sourire complice, on est sorti de la salle noire. En amoureux, en harmonie de ressenti et de sensibilité.
Nylonement