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Grand Theft Auto V

Publié le 03 janvier 2014 par Bobby @MissBobbyD
Miss Bobby_Grand Theft Auto V
Au début du mois de décembre, j’avais la surprise de trouver un paquet Amazon dans ma boîte aux lettres. Après réflexion, je n’avais rien commandé. Je déballe et qu’est-ce que je vois : Grand Theft Auto V. Numérobis sait faire plaisir à sa frangine et la surprendre. Grande joie !
J’avais essayé GTA IV qui ne m’avait pas franchement passionnée. Le seul que j’avais fini était GTA III (oui, c’était conique, façon Tomb Raider), autant dire que ça date. À l’époque, j’y jouais avec Numerobis.
J’étais déjà préparé psychologiquement à ce GTA V : j’écoutais depuis des semaines la bande son, qui est absolument géniale. Mon nouveau téléphone est orné d’un arrière-plan. Et pire que tout, mes contacts PlayStation me narguaient sans le savoir « Machin est en train de jouer à Grand Theft Auto V ». Oh ça va hein ! Je vous déteste tous !
Conditionnée pour aimer, d’autant plus que le principe me plaisait bien : trois personnages à diriger. Petite crainte tout de même, j’avais peur de me lasser rapidement.
Eh bien, je ne pensais pas voir le générique de fin aussi rapidement. Et qu’est-ce que ça m’a attristée. Il me reste encore quelques missions secondaires, mais l’enjeu est différent.
Ce Grand Theft Auto V est passionnant, réaliste et hallucinant. Lorsque vous jouez avec un personnage, les deux autres continuent de mener leur vie, d’ailleurs, chacun mène sa vie dans cette grande ville qu’est Los Santos (ou Los Angeles). Il est tellement réaliste que vous pouvez entre autres faire du yoga (et ce n’est pas juste regarder votre personnage faire du yoga, non, non, faut bouger les joysticks pour prendre les poses, sans oublier de prendre des respirations), faire un triathlon histoire d’augmenter votre endurance, prendre des cours de pilotage d’avion, vous entraînez au tir, faire du tunning, des courses de voiture, du golf, du tennis, aller au cinéma, dans des clubs de strip tease (et prendre part à la danse), etc, etc.
Le principe est toujours le même : sexe, drogue et violence. Vous ferez des braquages à trois, vous aurez même la possibilité de choisir la manière de le réaliser, tout en ayant des missions solo. Néanmoins le vrai concept étant les trois personnages qui casse la monotonie du jeu : chacun a ses missions secondaires, son style, sa propre compétence, on passe de l’un à l’autre avec beaucoup de facilité. Et c’est plaisant d’incarner les trois personnages dans une seule mission, c’est-à-dire qu’il vous faudra parfois tirer dans le tas, pour ensuite passer à un autre personnage qui pilote l’hélicoptère, puis au troisième qui fait encore autre chose. J’ai beaucoup aimé le fait de préparer les braquages, parce que « bon les gars, allez, on va braquer une bijouterie entre midi et deux », ça me paraissait peu logique. Alors que là, il vous faut voler certaines choses ou préparer votre véhicule pour vous échapper avant de vous lancer à corps perdu dans l’appât du gain.
Vous l’aurez compris, j’ai tellement aimé, que j’ai recommencé le jeu en y ajoutant les quêtes d’objets. J’ajoute que l’application iFruit (pied de nez à Apple) vous permet de dresser Chop (le chien de Lamar que vous aurez la chance de récupérer) et de modifier vos véhicules. Les modifications faites sur votre téléphone seront ensuite appliquées au jeu. S’est-il pas beau ? J’ai tout de même un point négatif, j’ai trouvé le jeu plus facile, tout comme la fin. Dans GTA III, je me souviens que le jeu se terminait par un braquage et le personnage était encerclé par le SWAT (cinq étoiles de police), je n’arrêtais pas de mourir. Alors que là…
PS : J’ai découvert après la fin du jeu que le physique des personnages n’avait pas été créé de toute pièce, mais tiré de personnes réelles (Ned Luke, Steven Ogg et Shawn Fonteno). Du coup, quelle surprise de voir les voix apposées à une ressemblance aussi frappante. C’est comme si le jeu prenait vie.

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