le mépris du peuple, de Sarkozy à Hollande, c’est kif kif… bourricots !

 

D’une démocratie étouffée sous la sauce hollandaise…

Et donc, il paraîtrait que certains fauxcialistes geignards pleurnicheraient parce qu’ils en ont marre des clivages gauche/droite, que pour eux ils seraient dépassés, et que la fausse et la vraie gauche ça n’existe pas, et que patati et patata et que c’est nous les cons et pas eux. Ben tiens, t’a qu’à croire… (Moi, en la matière, de toute façon,  je suis athée).  Et que ce procès d’intention envers le gouvernement serait ridicule, et que si nous n’étions pas de si mauvaise foi, on concèderait des avancées à cette équipe présidentielle si dévouée à la cause commune … Bien sûr, bien sûr.

 Pourtant, moi, je suis comme Saint Thomas. Et je trouve que les mauvais signaux ne cessent de s’accumuler en ce début d’année. Après l’ignoble régression sociale de la réforme des retraites, et le pacte de responsabilité qui n’engage à rien alors que le précédent est si contraignant pour les salariés, de même que l’augmentation de la TVA (qui touche qui le plus volontiers, hein ? je vous le donne en mille…), quand je vois ça

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 …  j’ai les poils qui se hérissent, même sous les bras, pourtant  écrasés par la chair de mes bras… Devant tant de cynisme ordinaire sous l’apparente bonhomie du personnage, ma gauchitude incarnée me donne envie de « donner des mandales dans la tronche à tout ce qui remue » et qui se revendiquerait un tant soit peu socialiste. A l’eau de rose ? Même pas : elles ont encore quelques épines.  Eux pas. Ou seulement pour ceux qui souffrent…

 Deux poids, deux mesures, vous dis-je… Tout pour les patrons, rien pour les autres, alors ? Et même pas un peu de démocratie et de consultation du peuple pour faire passer la pilule, alors ? Même pas en simulacre, c’est-à-dire sous la forme de la représentation nationale ? C’est ça le changement tant promis ? Le changement dans la continuité, ça suffit comme ça. Y en a marre. Je ne suis pas de ceux qui retournent leur veste toujours du bon côté et pour qui ce qui était condamnable hier serait bon aujourd’hui. Faut bouger, et vite. Des propositions d’actions ? je suis preneur. Et je préviens de suite : je n’ai pas que de la gueule… Ceux qui me connaissent le savent bien.