liste des métiers porteurs que l’on pourrait faire à New York

Publié le 01 janvier 2014 par Mynewyork @mynewyork_fr

On peut débarquer du jour au lendemain à New York et se lancer dans un business. Même un domaine dans lequel on a aucune expérience. Même sur un marché qui n’existe pas encore. Les gens n’ont pas de préjugés et ne jugent qu’à l’aune d’un seul critère : making money. Un business est rentable donc il est.  A partir de là, tout est possible. Pour changer de vie et se réinventer, lâchez votre imagination et venez tenter votre chance. Voici quelques idées de métiers qui feraient, à coup sûr, de très bons business dans la Grosse Pomme :

Food, Drinks and Drugs

  • Cookie Painter : peintre de cookies

Peindre des cookies et les exposer dans une galerie pour les vendre. Dans un monde où le food design prend de plus en plus d’importance, il ne faut pas hésiter à être créatif et hybride. Le peintre qui sommeille en vous se fera un plaisir de réinventer un incontournable comme le cookie.

Comment différencier un cookie de ses concurrents ? En le peignant…

  • Whiskey Ambassador : ambassadeur de whisky

Le vin n’a aucun problème de popularité. Mais le whisky avait besoin d’un coup de pouce. Jeremy Bill est devenu son ambassadeur. Son métier ? En consommer et en parler ! Avec tous les produits français qui ne demandent qu’à être connus et exportés à New York, vous en trouvez bien un dont vous vous ferez l’ambassadeur. Attention cependant, estomac fragile, s’abstenir…

  • Weed Farmer :  éleveur de cannabis

En ce 1er janvier 2014, les Etats-Unis ouvrent leur premiers coffee shops, dans le Colorado, premier Etat américain à légaliser la marijuana à des fins récréatives. Elle est déjà légale à des fins médicales dans plusieurs Etats. Si l’Etat de New York ne l’a pas encore autorisée, le marché existe quand même : les écoles d’horticulture et les laboratoires en achètent pour leurs recherches. Si vous vous sentez l’âme d’un néo-cultivateur, foncez. Si vous n’avez pas la main verte, faites comme William Breathes, premier critique de marijuana du monde.

Avec la légalisation progressive, cultiver du cannabis est un marché d’avenir.

Well Being

  • La littérature, méthode plus douce que les médocs, pour se sentir mieux.

    Book Therapist : bibliothérapeute

Dis moi quel est ton problème et je te dirai quel livre te guérira. Les maux de l’âme peuvent être soignés par de la littérature. A la School of Life à Londres, on remplit un questionnaire sur ses habitudes de lecture puis on a le droit à un entretien de 45 minutes pour explorer nos états d’âme. Le bibliothérapeute nous prescrit alors 8 romans. La cure de lecture fera le reste. On vous avait dit que votre licence de lettres  avait peu de débouchés professionnels ? Faux !

  • Happiness Teacher : professeur de bonheur

Donner des cours de bonheur. Finalement, qu’est-ce qui peut être plus utile et essentiel qu’apprendre à être heureux ? Le cours de Tal Ben-Shahar à Harvard est le plus populaire de tous. C’est un cours de psychologie positive sur… le bonheur. Docteur en philosophie et psychologie, il a su trouver le savant mélange entre études des textes et pragmatisme anglo-saxon.

  • LGBT Therapist : psychologue LGBT

Que ce soit pour des problèmes directement liés à leur orientation sexuelles ou des problèmes plus classiques, la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenre) pourraient vouloir s’adresser à un psy spécialisé. Après tout, il y a bien des bars gays et des hôtels hétéro-friendly. Pourquoi s’arrêter là ?

Virtual Life

  • E-reputation Manager : gestionnaire de l’e-reputation

L’époque où la réputation de quelqu’un ne se faisait que par du bouche-à-oreille semble bien loin. Aujourd’hui, notre meilleur ami et ennemi est le web. Il garde tout en mémoire et google décide unilatéralement de la manière de référencer et hiérarchiser l’information. Résultat : pour s’assurer la meilleure réputation possible sur le web et faire le ménage de tout ce qui pourrait s’avérer « gênant », il faut faire appel à un professionnel.

  • Digital Detox Specialist : Régulateur numérique

On aurait tord de sous-estimer les dégâts comportementaux liés à l’abus du numérique. Ceux qui vont trop loin ont besoin de se faire littéralement désintoxiquer. Le régulateur numérique aide ses clients à faire une « digital detox« . Exit les emails 50 fois par jour, google, youtube, facebook, twitter, instagram, pinterest, snapchat et autres inventions addictives.

  • Social Media Consultant : consultant en réseaux sociaux

 Les marques l’ont vite compris. Se faire connaître en 2014 passe par les réseaux sociaux et le pouvoir de publicité incroyable du web. Si vous êtes tombés dans la marmite des réseaux sociaux quand vous étiez petits, vendre votre expertise et developpez des stratégies spécifiques pour les marques .Expliquez leur comment on juge de l’instagrammabilité d’une photo, quel statut facebook est pertinent, dans quel cas utiliser twitter,… A l’heure où l’on frise l’overdose de réseaux et de virtuel, il va falloir faire le tri et favoriser les micro-communautés.

Pets

  • Pet Fashion Designer : couturier pour animaux domestiques

Lancez vous dans une marque de fringues pour animaux domestiques. Bien sûr que le marché est juteux ! Si vous savez y faire, en peu de temps, vous vous retrouvez en charge d’une toute nouvelle New York Pet Fashion Week.

Un chien lors de la Halloween Dog Parade de New York. ©Hayden Rockwell

  • Pet Detective : détective pour animaux domestiques

Accros de leur animal domestique, les New Yorkais seraient prêts à tout pour eux. Imaginez leur désespoir lorsqu’ils venaient à perdre leur animal fétiche…. C’est là que vous entrez en jeu. Vous menez l’enquête, le retrouvez et empochez le pactole !

  • Pet Behavorist :  comportementaliste animalier

Les New Yorkais sont souvent busy et single. Célibataires mais pas seuls. C’est à ça que ça sert un animal de compagnie. Sauf que parfois ça se gâte. Il faut consulter. Le comportementaliste animalier étudie le caractère de l’animal de compagnie, rétablit la communication et réconcilie les deux êtres.