Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Depuis qu’elle sait tenir un stylo, elle écrit… Après une scolarité sans histoire où il lui arrive de s’ennuyer, elle poursuit des études de droit tout en s’essayant à divers boulots, pas toujours gratifiants mais souvent formateurs. Parallèlement, elle se lance dans l’écriture d’un polar et parvient à y mettre un point final. Son premier roman, Terminus Elicius (Editions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005. Suivront Meurtres pour rédemption (Editions la Vie du rail, 2006, et réédité au Fleuve Noir en 2010) qui a été sélectionné pour le Prix Polar Cognac, Les Morsures de l’ombre (Editions Fleuve Noir, 2007) tour à tour lauréat du prix Intramuros, du prix SNCF 2009 et du prix Entre les murs, Chiens de sang (Editions Fleuve Noir, 2008) et Jusqu’à ce que la mort nous unisse (Fleuve Noir, 2009), Lauréat du Prix des Lecteurs au Festival Polar de Cognac. Juste une ombre est son dernier roman à paraître au Fleuve Noir.
Le résumé :
D’abord, c’est une silhouette, un soir, dans la rue… Un face-à-face avec la mort.
Ensuite, c’est une présence. Le jour : à tous les carrefours. La nuit : à ton chevet. Impossible à saisir, à expliquer, à prouver.
Bientôt, une obsession. Qui vous ruine ta carrière, te sépare de tes amis, de ton amant. Te rend folle. Et seule.
Juste une ombre. Qui s’étend sur ta vie et s’en empare à jamais.
Tu lui appartiens, il est déjà trop tard…
Mon avis :
Après avoir dévoré « Les morsures de l’ombre », je viens d’achever celui-ci qui est encore plus passionnant. On ne peut qu’adorer tout ce que ces 605 pages renferment. Les personnages, l’intrigue, le suspens, tout est là pour qu’on passe des heures à suivre cette histoire pleine de rebondissements, des surprises, des évènements qu’on ne commande pas et voudrait bien différents, parfois… Vraiment, un thriller à ne pas rater. La preuve, dans 10mn, c’est la nouvelle année, et je viens juste de finir ce bouquin qui est mon meilleur cadeau de fin d’année… Pour Bernie : La fin de celui-ci est très bien amenée, digne du grand G.J. Arnaud !