- quand la fatigue vous coupe le souffle et que vous vous demandez: "mais, qui me poursuit?"
- quand vous n'avez plus aucune espèce de force au 16e km et que vous en arrivez à vous dire (en bon ivoirien): "je veux prouver quoi à qui même?"
Et il s'avère que vous arrivez à bout de ces doutes par la force de votre mental.
L'esprit domine la matière dit-on?Il arrive que vous ressentiez la plénitude de l'objectif atteint, du devoir accompli. Un sentiment intense qui ne se justifie que par une seule chose: en plein doute et au milieu de la plus grande difficulté, vous n'avez pas abandonné!
Et c'est ce que nous chérissons comme valeur, nous n'abandonnons jamais.
Et c'est aussi ce que nous nous disions: nous ne laissons aucun de nous abandonner.
Parce que c'est ce que nous sommes: ceux qui n'abandonnent jamais
Au terme de la course, chacun de nous s'est fendu d'anecdotes de course et de rappel de ses premiers pas. Il y a un an, courir 15 minutes était un exploit. Aujourd'hui, 45 minutes est un minimum et 3h de course ont déjà été accomplies.
Rien de cela n'aurait été possible si nous avions abandonné. Alors, s'il y a une chose à retenir de cet article, ce sera:
N'importe lequel des exploits de ce monde a débuté par une réalisation minable alors... Tant que vous avez un objectif en tête: n'abandonnez jamais!
à
@Constytia,
@kadotien
et @laskazas