Magazine Humeur
Mais du même souffle, elle (ndlr Johanne Desrochers, PDG de l'AICQ) souligne que le gouvernement joue du bâton «sans jamais s'inclure» dans l'origine de la crise (ndlr corruption dans l'industrie de la construction). «On ne peut pas continuer à faire de la politique là-dessus», dit-elle, avant d'ajouter: «S'il y a eu de l'argent donné, c'est parce qu'il y a de l'argent reçu. Les prête-noms, ça servait à qui? Pas à monsieur Tout-le-Monde. Ça servait aux politiciens.»--- KATHLEEN LÉVESQUE