Ceci étant, un Kodorkovski libre et vivant vaut largement l'effort fait par Genscher. Et qu'un ex-oligarque de ce calibre se préoccupe des « droits de l'homme en Russie » c'est une bonne chose. Sur ce sujet, il y a du boulot pour du monde et pour longtemps.
Tout combat contre l'arbitraire vaut la peine, surtout dans les endroits où la chose manque le plus.
En attendant la suite, merci Monsieur Genscher d'avoir mis votre savoureux grain de sel dans cette histoire.
Jorge