Un tour du monde ça veut dire transport. Qui dit transport dit….incident, surtout pour nous !
A l’heure où nous n’avons plus que des avions à prendre et des taxis pour y aller, nous avons fait le bilan de nos « soucis » de transport sur 1 an.
Un petit aperçu non-exhaustif de tout nos tourments sur 1 an :
Commençons par l’Amérique du Sud, le royaume du bus tout confort et pourtant …
- Réparer un essieu de bus au milieu de la nuit (trajet vers Iguazu, Argentine) et accessoirement finir avec 24h de retard !
- Ouvrir la soute du bus au pied de biche (clé perdue par le chauffeur à Santiago, Chili)
- Casser le porte bagage du 4×4 (Sud Lipez, Bolivie)
- Tomber en panne d’essence et devoir attendre qu’un autre 4×4 arrive (Sud Lipez, Bolivie)
- Voyager en bonnet/polaire/doudoune à cause d’une fenêtre cassée dans un bus à 4000m (Trajet vers Potosi, Bolivie)
En Nouvelle-Zélande, même avec notre propre transport, le camping-car, nous continuons la liste :
- S’embourber dans un camping jusqu’à l’arrivée salvatrice d’un ranger du DOC (Nouvelle Zélande)
- Oublier la hauteur du camping-car et taper le toit dans une entrée de parking (NZ)
- Rebrousser chemin à cause d’une tempête de neige en pleine nuit (Mont Egmont, Nouvelle Zélande)
- Rebrousser chemin à cause de la pluie et des inondations (Martinborough, Nouvelle Zélande)
En Asie, les bus sont plus « roots », c’est plus logique d’avoir des merdes, mais celles-là sont quand même pas mal originales !
- Crever en bus au plein milieu de la nuit (Trajet vers Bagan, Birmanie)
- Casser la pompe à essence d’une station service (Trajet vers Bagan, Birmanie)
- Changer de calèche car l’âne refuse d’avancer (Mandalay, Birmanie)
- Pousser la voiture embourbée devant 40 Indiens qui bougent pas le petit doigt (route vers l’aéroport de Bhubaneswar, Inde)
- Crever en voiture (route vers l’aéroport de Bagdogra, Inde)
- Changer de jeep au milieu de la jungle car la précédente tombe en panne toute les 10 minutes (parc national du Chitwan, Népal)
- Voyager sur un siège cassé pendant 5h en Inde (Mamallapuram à Pondicherry)
Alors, toujours pas content de la Sncf, des autoroutes ou des bus de ville ! Profitez, on a de la chance en France
Et soyez en sûrs, demain, nous allons partir en avance pour l’aéroport !
A très bientôt.
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